J’veux du soleil ! – REPORTÉ !
Film documentaire de Gilles Perret & François Ruffin (1h16’)
Faisant suite à l’Arrêté pris par le Gouverneur de la Province de Liège ce 24 octobre, nous nous trouvons dans l’obligation de reporter (ou annuler dans certains cas) l’ensemble des manifestations publiques prévues jusqu’au 19/11.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre fidélité à nos manifestations. En espérant vous revoir au plus vite, le CCV.
«J’ai changé les plaquettes de frein et le liquide de refroidissement. 350 € chez Norauto…». C’est parti pour un road-movie dans la France d’aujourd’hui !
Avec leur humour et leur caméra, Gilles Perret et François Ruffin traversent le pays. A chaque rond-point en jaune, c’est comme un paquet-surprise qu’on ouvrirait. Qu’est-ce qui va en sortir ? Des rires ou des larmes ? De la tendresse ou de la colère ? De l’art ou du désespoir ? Les deux compères nous offrent des tranches d’humanité, saisissent cet instant magique où des femmes et des hommes, d’habitude résignés, se dressent et se redressent, avec fierté, avec beauté, pour réclamer leur part de bonheur.
En partenariat avec CEPAG dans le cadre du Festival de Résistance et suivi d’un débat.
Thème du débat : «Quelles formes pour les mouvements sociaux après les gilets jaunes ?»
Tarif : 3€
Ce qu’ils en disent :
Les Inrockuptibles (par Ludovic Béot)
« Il faut donc souligner le courage et l’intelligence du regard de ce premier film de cinéma sur le mouvement des Gilets jaunes qui ne cherche pas à englober toute la complexité de la mobilisation, mais à la restituer à sa manière, de façon inédite et dans un temps présent. »
Libération (par Luc Chessel)
« Faites ce que vous voulez mais voyez ce film : il ne suffit pas, il y en aura d’autres, une armée de tortues qui continueront après lui à semer tous les Achille aux talons du pouvoir, mais il a le mérite de nous faire gagner un peu de temps. »
Télérama (par Jérémie Couston)
« Narré avec la même joie communicative que « Merci patron ! », ce film politique n’est jamais tire-larmes. Si bien des témoignages serrent le cœur, c’est avec l’espoir de nous galvaniser. »
Cahiers du Cinéma (par Quentin Papapietro)
« Cette lutte aura enfin trouvé une représentation digne (quoique forcément partielle) dans la première œuvre qui lui aura été consacrée au cinéma. Un lieu pour réfléchir, comme les gilets fluorescents. »
Ecran Large (par Christophe Foltzer)
« Loin des clichés officiels sur les Gilets Jaunes, « J’veux du soleil » est un formidable portrait de la France qui n’a jamais l’occasion de s’exprimer. Parasité par instants par François Ruffin lui-même, le film demeure très important dans le contexte actuel. »
L’Humanité (par Dominique Widemann)
« Loin de toute analyse sociologique et des postures en surplomb, les deux comparses interrogent, titillent, incitent. Alors, la parole la ramène, parfois entre rires et larmes. »
Le Nouvel Observateur (par Anne Crignon)
« Dans « J’veux du soleil ! », plein de l’esprit taquin et tendre de François Ruffin, les petits miracles se succèdent jusqu’à la séquence finale, enchanteresse. »
Les Fiches du Cinéma (par Michel Berjon)
« Un documentaire sensible et coloré sur les Gilets Jaunes, débordant d’humanité et qui, malgré des témoignages exprimant une détresse sociale, donne chaud au cœur par ce qu’il montre : la dignité retrouvée de gens qui cessent de courber la tête. »