Pendant le congé d’automne / Toussaint
Un film de Claude Barras
Courgette n’a rien d’un légume, c’est un vaillant petit garçon. Il croit qu’il est seul au monde quand il perd sa mère, mais c’est sans compter sur les rencontres qu’il va faire dans sa nouvelle vie au foyer pour enfants. Simon, Ahmed, Jujube, Alice et Béatrice : ils ont tous leurs histoires et elles sont aussi dures qu’ils sont tendres.
Et puis il y a cette fille, Camille. Quand on a 10 ans, avoir une bande de copains, tomber amoureux, il y en a des choses à découvrir et à apprendre.
Et pourquoi pas même, être heureux.
Animé par
Public : A partir de 7 ans
Thèmes abordés : abandon, amour parental, alcoolisme, protection, espoir
Durée : film 1h06 + animation pédagogique d’environ 40 minutes
Tarif : 3€
Adaptation du roman Autobiographie d’une courgette de Gilles Paris, ce film a reçu de nombreuses récompenses, dont le Cristal du long métrage et le prix du public au Festival international du film d’animation d’Annecy en 2016, ainsi que les César du meilleur film d’animation et de la meilleure adaptation en 2017.
La presse est unanime !
CE QU’ILS EN DISENT :
► « Le merveilleux « Ma vie de Courgette » bouscule les idées préconçues sur ce sujet en se révélant une ode à la joie de vivre (…). » Par Caroline Vié – 20 Minutes
► « Véritable pépite, ce film tendre et bouleversant nous amène doucement, comme son petit bonhomme de 10 ans, à regarder la vie avec bonheur grâce à la solidarité et à l’amour. » Par Valérie Beck – Femme Actuelle
► « Animée avec des figurines aux yeux grands comme leur chagrin, cette histoire d’amitié, lumineuse et drôle, raconte avec une sensibilité rare comment des gamins abîmés par la vie s’inventent une nouvelle famille dans leur foyer d’accueil. » Par Stéphane Dreyfus – La Croix
► « Cette adaptation en stop motion du roman de Gilles Paris est un chef d’œuvre de poésie, d’humour et d’intelligence. » Par Marilyne Letertre – LCI
► « Des petites marionnettes aux yeux ronds ; des décors qui semblent dessinés par des enfants ; l’évocation de la dureté de la vie sans surcharge misérabiliste ; la tendresse, la pudeur et le rêve : une réussite ! » Par Jean Serroy – Le Dauphiné Libéré
► « Le cinéma d’animation français compte un chef-d’œuvre de plus dans ses rangs. » Par Stéphanie Belpêche – Le Journal du Dimanche
► « Réalisé avec des marionnettes, le film, à partir d’un sujet pas facile, se révèle capable de faire rire, pleurer et soulever l’enthousiasme de tous, adultes comme enfants. Une merveille pleine d’humanité. » Par Renaud Baronian – Le Parisien
► « Le résultat est bluffant de réalisme et de poésie. Sacrée Courgette. » Par Victoria Gairin – Le Point
► « Ce film intelligent, réaliste et positif, conte la renaissance d’un enfant après une tragédie familiale. Une leçon de résilience qui s’appuie sur la force de l’amitié, de l’amour et de la bienveillance : remarquable à tout point de vue ! » Par Ghislaine Tabareau – Les Fiches du Cinéma
► « Une perle du cinéma d’animation ! » Par Christophe Carrière – L’Express
► « Le merveilleux au sortir du marathon où se sont embarqués quelque cent cinquante artisans, c’est qu’il se voit et ne se voit pas. La qualité saute aux yeux. Le labeur disparaît sous l’intelligence visuelle et sensible. La mise en scène est tout entière au service de son propos. » Par Dominique Widemann – L’Humanité
► « Entre la poésie intimiste d’un Tim Burton et la force sociale d’un Ken Loach en herbe, Claude Barras pétrit le malheur pour lui donner la forme, éclatante et joyeuse, de l’espoir. Et c’est bouleversant, à n’importe quel âge. » Par Guillemette Odicino – Télérama
► « Ce petit bijou de délicatesse traite de sujets graves et douloureux avec tendresse et humour, sans pathos. Bouleversant. » Par La rédaction – Voici
► « Ma vie de Courgette » est un film ultra-stylisé mais profondément incarné. C’est aussi une œuvre d’une certaine modestie (..) qui fait passer énormément de choses sur l’enfance, la différence, la construction de soi, l’altérité, avec une concision, une finesse et une précision impeccables. » Par Serge Kaganski – Les Inrockuptibles